Le bateau traverse la lagune, l’impatience grandit : voici Venise !

A peine a-t-on posé le pied que déjà les mythes deviennent réalité : ici, le Pont des Soupirs et là, la place St Marc ! Comme tant d’autres avant eux, Paul et Yan courent derrière les innombrables pigeons, histoire de faire le ménage à la place de St Marc.

Nous nous engageons dans le dédale de ruelles : passer sous une arche, traverser un tunnel, déboucher sur une placette ombragée, se faufiler dans des rues si étroites que les voisins face à face doivent pouvoir se passer le sel, et bien sûr, passer sur un de ces fameux ponts, admirer les gondoles, laisser ses pensées filer dans les reflets de l’eau des canaux…

Paul et Yan courent partout, pas une voiture ne nous dérange. Il règne pourtant une grande animation : les livreurs tirent leur charrette à bras chargée de caisses en tout genre, les bateaux se croisent sur les canaux étroits, et partout, on retape, on embellit.

Loin des craintes que l’on pouvait avoir, nous découvrons Venise propre, bien organisée, et l’accueil s’accompagne toujours de grands sourires.